LEGION ETRANGERE.    POEMES

 

j'avais un camarade ! » Nuls intentions de nuire la véritable version qui est chanté par la Légion. Ceci n'est qu'une version de pensées ou poème celons votre choix !

 

Nous avions !

 

Nous avions un camarade il s'en est allez comme il est venu en silence.

 

Nous avions un camarade Virées, filles nous. avions, s'en es fini il s'en est aller !

 

Nous avions ! un camarade aux combats et dans la vie il était notre frère il nous avait suivis !

 

Nous avions un camarade. Rizières, gourbis de cela Il s'en foutait il aimait. Il était de tout les coups !

 

Nous avions un camarade qui un beau jour est partis nous laissant Nous avions un frère d'arme.

 

Nous avions un camarade qui maintenant gît sous cette terre qu'il à temps aimé. dort mon frère

 

Notre dernière pensée est pour toi, le jour ou encore un des notre te rejoindra Nous dirons avec nostalgie

 

Il nous avaient suivis et s'en aller. Quel bon temps et merdiers ont c'est payer. Alors ensembles.

 

Nous avions UN CAMARADE

 

 

 

 

POEMES

 

 

Sur la terre imprégnée  du sang des légionnaires  le soleil ne se couche  . . . . . . .  JAMAIS.  yves Trousson

 

 

La valeur et l honneur des vrais légionnaires n’est pas a contesté, nos anciens qui sont tomber en son les premier a le prouvé.  . . .    yves Trousson

 

 

Reflexion : Quant je fume  ma bouffarde ;

 

Je vois dans la direction ou ce dirige ma fumée, je ne suis jamais pris au dépourvu.          

 

yves Trousson

 

 

Dans la chaleur de la nuit

 

sous le ciel étoilé

 

et né, l’enfant légion

 

 

 

Beau bébé né d’un belle

 

amour, fils de légionnaire

 

et de marie

 

 

 

LA VIE T’EST DONNER

 

 

 

 

 

 

 

Gladiateurs des temps perdus

 

Spartiates au grand coeur

 

Guerriers  sans faille

 

Mercenaires sans peur

 

Soldats fidèles

 

Képis blancs est ton honneur

 

 

 

LEGIONNAIRES EST

 

ET TA FIERTE

 

SANG ET COURAGE SONT

 

TA DESTINE

 

 

 

Yves

 

TROUSSON YVES

 

 

CAPITAINE. PIERRE BOURGIN

 

 

"Vous ne vous arrêterez pas dans vos succès ; je ne m'arrêterai pas non plus, dussé-je inventer pour vous de nouvelles récompenses."

Le général Pétain aux légionnaires, après avoir décoré leur Drapeau de la croix de la Légion d'honneur. 27 septembre 1917.

 

 

VOS  TEMOIGNAGES

 

 

André Zirnheld

 

 

Trousson Yves

 

 

Pascal Bonetti

 

 

Maryse Weihsbach

 

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