BATAILLES LEGION

 

Saint-Aignand. 1918.

 

Dans la nuit du 6 au 7 juillet 1978, le R.M.L..E, reçoit l’ordre de relever le 418e R.I, dans le secteur de Saint-Aignan,  près de Vivière, une dizaine de kilomètres au sud de l’aisne.  Les pertes subies en mai et juin n’on pas été remplacé il en manque encore plus ou moins. Le régiment à bien reçu trois cent russes, mais encore à t’il fallu les trier, car la plupart déclare s’être engager pour uniquement travailler, mais parmi le total élevé des engagés entre le 30 juin et le 16 juillet, trois cent quatre vingt cinq “ bons ” russes seront affecté au R.M.L.E, et cela malgré que le lieutenant Colonel Rollet à certaines craintes vis à vis d’eux ! C’est craintes sont fondée par le fait qu’en novembre 1917, une centaine de russes, c’était échappé du camp de Courtne, et avait été incorporé dans la Légion, plus de la moitié avait déserté, dans un moment ou le régiment en repos avait été mis en alerte d’un éventuel combat.

 

A son arrivée à Saint Aignan, sa première tache est d’aménagé le secteur, qui en fait doit donner la possibilité d’un passage partant d’une base de départ sur la rive Est du Ru, de Retz, ce qui prévoit dans l’avenir passer de la défensive à l’offensive, il faut aussi aménagé le terrain en vue d’une offensive Allemande, les travaux commencé par le 418e R.I, est donc exécuté pour eux, en effet les allemands, n’envois pas de patrouilles, c’est inutile ils sont au courant de l’avancé des travaux par leur aviation, de ce fait les Légionnaires travaille sous les bombardements intermittents de l’artillerie ennemies.  Le tout est effectué sous l’œil vigilant de Rollet, et plus spécialement le plan de feu d’armes automatique installé pour harceler de jour et de nuit les allemands, ce qui leur rend la vie impossible.

 

Le 15 juillet l’offensive allemande sur Reins, à échoué, c’est le général Gouraud, qui à permis cela, mais cela permet surtout à Foch, de pouvoir passé à l’offensive. Le 16 juillet la division Marocaine, dans la quelle appartiens la Légion, diffuse un ordre d’attaque vers l’Est, dans l’axe Dommier-Chaudun-Villemontoise. Dans cette offensive le R.M.L.E.  reçois l’ordre d’attaquer en tête de la 1er brigade, la Légion sera appuyée par des chars légers Renault.

 

Le 18 juillet, à 4 heures 35 minutes, le II/R.M.L.M. s’élance aucunes préparation d’artillerie au préalable, c’est pendant les tirs de ceux si qu’ils ce sont élancés. Chez les allemands la surprise est total, de ce fait une certaine panique règne créant une mauvaise coordination dans la riposte.  Le R.M.L.E, à réussi une exécution parfaite sur une délicate manœuvre, elle c’est développé sans à-coups ; les trois bataillons en échelons ont pénétré dans un couloir la percée est effectué en profondeur au bord de ce couloir exigu les défenses allemandes ils sont encerclé, et les mitrailleuses formes une impasse, mais sont rapidement réduite au silence. A gauche la 1er division Américaine qui progresse à une vitesse de cinquante mètres minutes chose prévue. Cette division est novice dans la guerre, mais elle atteint tout de même s’est objectifs.

 

La Légion elle la fait  en deux heures, les plants prévus des engagements prévus sont donc réussis.

 

Dix huit canons détruits, les servants ont été passé à la baïonnette, de nombreuses mitrailleuses détruites aussi, même sort que les artilleurs, baïonnette. Le 2e bataillon à été fort éprouvé par les tirs allemands, le III/R.M.L.E. vient l’aider sur son aile droite, qui avec des pertes légères arrive avant lui sur les objectifs prévus.

 

Le  I/R.M.L.E. lui à été placé en réserve de brigade, il ne sera pas jugé bon de l’engager par l’état major. Le reste de la journée reste dans l’attente d’une contre attaque qui ne viendra jamais, quand à la nuit elle reste paisible.

 

Le 19, c’est la corvée de creusé des positions de défense, cela va commencer tôt le matin pour toute la journée.  A vingt heure le R.L.M.E. reçoit l’ordre de reprendre l’attaque vers l’est. A 21h30 le I/R.M.L.E. et le deux, déborde les ravins de Chazelles pour parvenir au matin la route de Château-Thierry à Soissons tout près de l’ancien moulin de Bazancy. De cette position qu’il tiennent fermement la Légion repousse e trois contre attaques commencée à dix heure, à midi, et seize heure en ce 20 juillet.  Les allemands considérants inutile les contre

 

s attaques, les arrêtes, les pertes étant trop lourdes. Suite à c’est faits le 91e R.I. relève la Légio,n, sans difficultés.

 

 

 

Vers la fin.

 

 

 

Pendant c’est trois jours très dur, la division marocaine d’ont fait partie la Légion, à effectué une percée de 11 kilomètres dans les lignes allemandes. Les prises sont élogieuses, quinze cent prisonniers, cinquante canons, de grandes quantités d’armes automatiques, ainsi que beaucoup de munitions, elle à surtout fait en sorte que toutes contre attaques ennemie échoue. Ce qui est essentiel à retenir, c’est que c’est trois jours est devenu le tournant de la guerre, et le début de la fin de cette guerre, en effet les allemands, commence à reculer vers l’Allemagne ! Le grand général allemand Ludendorf, écrit dans ses mémoires “ avoir sentis le souffle de la défaite ” après c’est trois jours de juillet. “ 15/18 ”

 

Cette offensive victorieuse coûte cher en hommes à la Légion, “ R.M.L.E ”.

 

Sept cent soixante-deux tués, blessés et  disparus. Les disparus sont aux nombre de cent septante cinq,  ce sont la majorité des russes, dont Rollet et ses commandant de compagnies redoutaient leur défectuosités avant les combats. Certains faits sont rapportés par les Légionnaires eux même, que tous les moyens pour ne pas ce battre sont bons, ce cacher dans un trou d’obus et n’en plus bougé toute une journée, laissant les autres travailler, quand aux autres russes eux disparus, 

 

Ce perdent volontairement, abandonne leur poste au combat. Quatre vingt sont repris et passerons en conseil de guerre. Les Légionnaires “ les bons russes aussi ” n’admette pas cette façon d’agir, encore moins quand cent dix russes, demande à être envoyé en Afrique,  les Russes ne veulent plus ce battre et cherche tout les moyens pour rentrer dans les unités en Afrique du nord. Ce n’est pas la perspective de cet officier qui à envoyé cette missive à titre personnelle ; enjoignant les Russes à le faire qui va arrager les choses. Cet officier d’on ont ne donne pas le nom, sera rudement réprimandé par le Colonel Bouchez, qui ce dernier sera approuvé par son supérieur le général Daugan.

 

Du 22 juillet au 26 août le R.M.L.E. est en repos. En premier dans les environs de Hardivillers du 22 juillet au 5 août, la avec la division marocaine au quel il appartiens toujours il ce retrouve dans la resserve de la 1er armée. Le 6 août, il fait mouvement vers Camprémy et Bois-Renaud ou il reste jusqu’au 26 août.  Sur cette période, le R.M.L.E. ce verra complète par de nouveau renfort, ce qui portera les effectifs à quarante huit officier, et deux mille cinq cent quinze sous officiers et légionnaires, c’est renforts arrives du centre divisionnaire, du dépôt de Lyon et d’Algérie, il en va de soi ! Mais le plus important et personnes ne le sait encore parmi eux, mais cette tuerie pire que dans un abattoir à trois mois plus ou moins à vivre.

 

On va les retrouver encore jusqu’au bout en suite il retournerons en Afrique du nord, ils ne défilerons pas sur les Champs Elysés avec les autres, non il faudra attendre 1920, ou le hasard fait que le 2 e Etranger ce trouve la, c’est la aussi que le peuple de France connaîtra enfin c’est étrangers représentants tous ceux qui sont tombés depuis 1831, existes ! Enfin, une autre fin, commençait celle de l’ignorance ou ils était confinés. Quatre vingt neuf ans d’histoire étaient enfin réveillé sut c’est pavés marqués de tant de faits d’armes et de reconnaissances !  Il à fallut cette guerre tournant de ce siècle, pour savoir officiellement que des étrangers mourraient pour la France, au sein d’une Légion appelé Etrangère, la fin d’être inconnue était bien finie !  

 

 

 

 

 

Terny-Sorny, 1918.

 

 

 

Le 22 juillet  le R.M.L.E. est au repos dans les environs de Hardvillers. Le 5 août,  la division marocaine dans son entièreté passe dans la réserve de la 1 er armée. Le lendemain il est dirigé sur Camprémy et Bois Renaud ou il reste jusqu’au 26 août, date de sa fin de repos, mais aussi de sa restructuration, en effet son venus complété les bataillons, quarante-huit officiers, et deux mille cinq cent quinze sous officiers et légionnaires.  C’est renforts viennes d’Algérie, ainsi que du centre d’instruction divisionnaire et du dépôt de Lyon.

 

Le 27 le R.M.L.E. est transporté par camion aux carrières de Montigny, d’ou il se portent près de Vingre, ou il établis un bivouaque. Les hommes reçoives alors leur tenue d’assaut : composée d’une veste, toile de tente en sautoir, deux bidons d’eau, cisailles, pour un grand nombre d’entre eux, il ne perçoivent pas par contre de capote.

 

A partir du 1er septembre, la division ce trouve en formation de marche d’approche,  de la 32e division d’infanterie Américaine, ce porte vers l’est vers Terny-Sorny, relevant ainsi cette division.  Ce 1er septembre commence une vaste opération, objectif prendre les défenses du village, pour les français cette ligne de défense s’appelle “ la ligne Hidenburg , pour les allemands Siegfried ”. 2 septembre à 14h, la légion ainsi que le 12 e bataillon de chasseurs malgaches ce mettes en route vers l’objectif, protégé mais en arrière d’un feu roulant d’artillerie.  Ils réussisses à franchir un glacis sans problèmes qui ce trouve à l’est d’une ferme du nom de Beaumont, la ils sont pris de flanc par les nombreuses mitrailleuses placées à la lisière nord du bois. Malgré tout ils poursuivent la progression, mais ils sont retardés de ce fait les voilas non protégés par l’artillerie, mais ils atteignent Torgny, sans pouvoir y pénétrer,  car les accès y sont bien protéger par les allemands et leur mitrailleuses. À 19h les allemands sortant du bois de Tergny et de la corne est du bois de Beaumont, contre attaque vers les lisières de Terny. Le R.M.L.E, rejette les allemands sur leur positions de départ au sud du village dont il s’empares par la même occasion.  Le II/R.M.L.E est relevé par le III/ , le II/ passe en réserve de la brigade.  Le régiment à gagné, pendant cette opération, deux kilomètres de terrain en profondeur il contribue de ce fait à faire plus de cinq cent prisonniers. Les pertes quand à elles sont lourdes. Trente six tués, trois cent douze blessés et 13 disparus. Seront blessé à la tête de ses hommes le capitaines de Lannurien, Sanchez carréro prend alors sont commandement. Le I/ était commandé capitaine Jacquesson et le III/ par le capitaine Maire.

 

Le 3 septembre la progression à repris avec beaucoup de difficulté. Le I/ R.M.L.E, arrivent à prendre l’est de Sorny. La résistance allemande lui interdit de développer son action en direction du tunnel de Vauxaillon et de Neuville-sur-Margival.  Mais l’offensive Mangin continue nous le verrons plus tard.  

 

 

 

 

 

La campagne du Maroc.

 

 

 

En 1925 la  situation est critique un peu partout en Afrique le 4e escadron ce trouve en août en Syrie.  Déjà depuis mai le Maroc est agité par des rebellions c’es dans l’Atlas et le Berbère que l’on retrouve le 1er R.E.C.  sans le 4e escadron, l’ennemi considère déjà la Légion comme un dangereux adversaire. C’est au 3e escadron du capitaine Bourgeois qui échoit l’honneur de participer a toutes les opérations de surveillance dans cette partie du Maroc qio ce situe du nord et au nord-est de Taza.  Le 3e escadron qui ce trouve dans la région de Guercif reçoit son baptême du feu, le 3 juillet 1925. exactement. 

 

Grâce au contre offensives pour la séxcurité du territoire contre les rebelles la situation s’améliore vers la fin de l’ été un peu soit il dirait on ! 

 

Malgré la reddition en 1926 d’Abdel el-Krim, l’Atlas lui est loin d’être pacifié. On retrouve le 3e escadron en opération en avril 26 sur le territoire de Midlet, entre le Moyen et Grand Atlas. En suite il part pour la ville de Bou Anane pour ce trouver dans les opérations “ utiles ” de la reconquête du Maroc qui est indispensable à la paix.

 

En 1932 les 3e, 4e et 5e escadrons sont de ceux qui pacifie le Tadighout et de la palmeraie de Tiloune. Le 6e escadron lui ce trouve engagé dans les régions du Taouz et du Gueris. Le gouvernement de Giraid en 1932 décide de réduire les rebellions incessantes des Chleus qui restes dans le Grand Atlas ce sont les derniers à résistés.

 

En 1933 tout est pacifies et la Légion entreprend de construire des postes militaires chargé de la surveillance mais qui servirons aussi a des points de départ de colonnes mobile et bien entendu c’est fortins servent aussi en appui. Plus tard ce sont les pelotons motorisés qui en partirons pour des opérations dans le sud du pays, leur missions sera d’ouvrir les routes vers les régions inconnues !   

 

   

 

 

 

La campagne du Levant. 1925/27.

 

 

 

Le sort veut pour le 1er régiment de cavalerie est  crée que la France reçoit des mandats ai Proche-Orient et en Afrique suite à un pacte de paix signé en 1919. Le 1er R.E.C va affirmer sa valeur dans une ancienne colonie française la Syrie, la ou les Druzes étende leur rébellion.

 

A Bizerte le 16 août 1925 le 4er escadron embarque pour la Syrie. Le 23 il arrive à Damas.  Les Légionnaire on pour mission de garder le centre du dispositif dans lr village de Messifre, c’est justement vers cette ville que les renseignements signale que 3.000 Druzes font mouvement. Le 17 septembre à quatre heures du matin, une attaque est lancée contre les Légionnaires, la farouche résistance bien déterminée de ceux si n étend pas prévue l’ennemi l’attaque prend du mou, vers 11 h 00 cela ce calme, l’aviation alliés bombarde l’ennemi.  Aux environs de 16 h 00 un clairon ce fait entendre ce sont les renforts un bataillon. De ce fait l’ennemi s’enfuit caché par la nuit, ramassant c’est blessés.  A Messifre les Druzes comptent des pertes énormes ; cinq cent tués et autant de bléssés, la Légion hélas quatorze hommes et un officier ! Pour ce fait d’armes le 4e escadrons est cité à l’ordre de l’armée du Levant par le général Sarrail.

 

En novembre 1925 le 5 exactement l’escadron subit un changement il est formé de cent hommes afin de mener une opération contre Rachaya, qui est une vieille forteresse franque, elle domine au sud le village du même nom, c’est un axe important et stratégique vers le Liban mais surtout la route communique avec Beyrouth. Tous les jours des reconnaissances sont effectuées c’est dernières signalent des rassemblements indiquant que trois groupes d’une force d’environs trois mille hommes convergent vers Rachaya les intentions sont ouvertement belliqueuses envers cette ville. La citadelle ce prépare a subir les assauts. Pendant ce temps les pelotons de reconnaissance effectue toujours sont travaille, deux de c’est pelotons ce retrouvent encerclés ordre est de tenir on est le 18. Le 20 des assauts d’une extrême violence sont effectués contre les crêtes, elles tiennent le coup, même si parfois elles semblent céder du terrain, la Légion tien bon. Le 23 au soir il est plus ou moins vingt heures quand les Drures découragés battent en retraite, le 6e Spahis arrivent en renfort, plus la peine de continuer les pertes Druzes s’élève à quatre cent morts c’est une nouvelle défaite.  Le 4e escadron est cité une deuxième fois à l’ordre de l’armé du Levant. Mais ce n’est pas tout il est reformé et file sur Beyrouth ou il reçoit le 3 décembre la croix de guerre et la fourragère des T.O.E. Ce jeune régiment est déjà bien décoré ce qu montre sa volonté de servir plus qu’honorablement son pays d’adoption.

 

        

 

 

 

Tunisie 42/4..

 

 

 

Le 14 novembre 1942 à Guzecif voit  la naissance du groupe de reconnaissance de la division marocaine qui devient autonome le 21 décembre 42. Immédiatement il est transféré par train sur la zone  de front de Tunisie des Dorsales tunisiennes.  Un groupement est constitué pour attaquer un col du nom de Foum el-Gouafel, qui est tenu par l’équivalent d’un bataullon elle est mixte Italo-Allemande quelques éléments mécanisé l’accompagne. Au centre ce trouve ceux qui vont les unités chargées de faire diversion par la route, afin de s’emparer du débouché de Foum el-Gouafel,  parmis elle le moins l’escadron d’automitrailleuse le G.A/1er R.E.C. Au sud, le 1er bataillon du R.M.L.E et les Tabors sont quand à eux chargé de l’attaque principale qui est lancée le 11 janvier 43. Arrivant sur le plateau il essuie un feu nourris qui les plaque au sol, leur chef ce jette de l’avant la Légion suit les Tabors font de même, traversant la ligne de défense de l’ennemi surpris de cette témérité, ils leur piquent en passant du matériels et lui provoque de lourdes pertes en soldat. A partir du 18 les évènements prennes une autre tournure en effet les allemands font venir de Libye des renfort blindés, prenant la route d’Oum el-Abouah route obligatoire pour eux arriver à leur objectif ils tombes dans la plaine du  mausolée nez à nez avec l’escadron d’automitrailleuses qui va les bloquer pendant quatre heures, ce qui permet au P.C de la division de  pouvoir évacuer avant l’encerclement une partie de son infanterie l’est aussi.  Les alliés contez attaque en vain dans la plaine du mausolée les chars allemands prennent l’avantage. Le groupement lui ce retrouve encerclé, mais la Légion n’aime pas ce faire capturé si facilement, aussi au prix de lourdes pertes ils arrivent a casser cette encerclement qui par ailleurs à encore surpris par sa fougue de l’action il est 11 h 30.

 

La campagne une fois terminée, le 10 mars le groupement rentre à Sidi Bel Abbès, ou il est dissous le 31 du même mois, dans cette campagne il à gagner une citation à l’ordre de l’amés.

 

 

 

 

 

Alsace 1943/45

 

 

 

De 43 à 44 la Légion ce prépare à une nouvelle campagne en Europe, départ Sidi Bel Abbès, France et Allemagne. Quelques changement ce font, dont pour le 1er REC la formation un régiment pour être incorporé à la non moins déjà fameuse 5e Division Blindés, 1er armée française.. 1943 est donc le début  de cette création et 44 la préparation du régiment en septembre de cette année elle quitte Oran et débarque en suite en Provence d’ou elle rejoindra la 1er armée après avoir remonté toute la vallée du Rhône. Du 19 au 28 novembre qui est regroupé dans un groupement interne capture le canal du Rhône jusqu’au Rhin dans la région Montreux-château et de Bretagne pour en suite foncer vers la haute Alsace. Le 24 et 25 il protège la ligne de communication Seppois-Hirtzbach-Alkirsh conttolant cette ligne il repoussent les Allemands, dans sa poursuite l’escadron de reconnaissance s’empare d’Aspach pendant la nuit du 25 au 26. On retrouve le REC dans les opérations de la réduction de la poche de Colmar le 25 janvier. Le 2 février fait partie de la prise de Colmar il termi,nera la réduction de cette poche en poussant un raid à travers les contreforts des Vosges. Les 3 et 4 février le régiment reçoit pour mission d’établir le contact entre les deux armée française en fermant la poche des Vosges ce quelle va faire en un temps record de trente six heures et cela malgré un mauvais terrain accidenté. Les Allemands qui sont maintenant dos au Rhin reculent en désordre on pourrai plus exactement parler de fuite, a ce moment l’Alsace est libre. Le ministre de la guerre propose au gouvernement provisoire de la république française, chef des armée de cité a l’ordre de l’armée le 1 er REC,  ce qui est accepté. La suite ce passe en Autriche.

 

Pour la petite histoire le 2 f évrier 1945, c’est le colonel Miquel, qui est le chef de corps, et qui donne son ordre d’opération pour la réduction de la poche de Colmar, opération terminée le 4 février avec le raid à travers les Vosges.                 D’AUTRES SUIVRONT

 

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