La vraie origine de la Légion.  suite ....

 

Le projet de loi du 21 mars 1832, concernant le recrutement, l’ article 2 atteste que « nul ne sera admis dans les forces française s’il n’est pas français » la il est flagrant que les législateurs ignoraient l’existence de la Légion étrangère un an après sa création, absurde non ? Il y à pourtant une institution en France accepter par tous et qui existe depuis 1789 qui est plutôt une tradition, ces celles d’offrir l’asile aux réfugiés étrangers qui fuient les persécutions en tout genre dans leur pays et c’est grâce malgré tout à Louis-Philippe que ceux si sont protéger dans la Légion étrangère, il la crée pour répondre à une crise à court terme, la crise est passée la Légion est restée, son ministre de la guerre un militaire, qu’elle est née, aux crise politique, mais aussi de gardez l’image des mercenaires servant un pays, la France suit le mouvement des autres pays ayant garder les traditions du mercenariat exemple, nous le voyons dans l’état papale ; à Naple et en Prusse cette solution était logique dans un paysen crise. La solution des Suisses engagés comme moi et tant d’autres le croyaient s’avèrent donc fausse les Suisses n’ont pas été engagés dans cette nouvelle Légion étrangère par fidélité a Louis VXI, mais par la crise caussé de 1830, nous en revenons toujours la à cette date, le régiment Hohenloe, non plus bien que ce dernier grâce à son intégrité à mon avis y est à la base, bref chacun peu avoir son opinion sur le sujet, sinon pourquoi en avoir pris les principes de base telle qu’officier étranger naturalisé français pour commander, pensons, au colonel Conrad, Mac Mahon de vieille famille Ecossaise au service de la France sous les roys, et l’empire devenue française, au colonel Carbucia l’archéologue mort au siège de Zaatcha du Choléra en 1849. A Amilakvari, a Bruno Garibaldi ; bien sur je suis persuader que cet tradition vient du Légion Royal Etranger, et sait temps mieux car cela repart l’absurdités d’une loi de 1832. La Légion étrangère solutionnait aussi une crise devenue plus finançable vis à vis des étrangers sans travaille et sans revenus constamment en révolte. Ces soldats n’avaient pas la solde d’un soldat de la régulière, les officiers non plus, l’avancement au grade de général pour un naturalisé de l’époque n’était pas possible, cette pratique bien logique bien qu’absurde mais l’article 2 était bien présent.

 

Le 26 février 1831, le ministère de la guerre décrète ou plutôt ordonne la création d’un dépôt dans la Haute Marle à Langre exactement, afin d’accueillir tout réfugiés mais aussi déserteurs étrangers, étrange Légion qui hais, méprise les déserteurs en ses rangs, mais qui accepte ceux venant d’ailleurs, et de plus ne déserterons jamais la Légion, lui restant fidèle. Encore absurde le non vouloir de l’engagement des ouvriers étrangers installés dans le pays ou encore des anciens du régiment Hohenlohe. Le général commandant la 18e Division militaire écrit, « Je ne pense pas que la création de ce dépôt, ait pour but un recrutement de cette nature » ne cherchons pas les raisons des défaites militaires française de l’ époque due à une bande d’abrutis civils et militaires, l’évidence est devant nous par ces écrits. Le gouvernement délire par ses propos telles que « n’est à l’évidence qu’un expédiant, une formation destinée à canaliser vers l’Algérie, des étrangers indésirables, tout est absurde il en sera de meme de la façon dont la France ce débarrassera de la Légion sans cocardes et sans drapeaux en Espagne en 1835. Pourtant face à l’absurde des hommes y croient en cette Légion, le colonel Bernelle ne la quittera pas acceptant cette mission.

 

En 1834 le Général Voirol écrit au Maréchal Soult ministre de la guerre, en lui demandant de porter le service en vue de l’amélioré a faire un service de cinq ans au lieu de 3, ce sera accepter, Soult ancien officier de l’empereur n’est pas un imbécile, il connaît l’armée, cet armée à besoin de cadre solide et des soldats expérimentés. Ma gré les absurdités que nous avons vue ensembles la Légion est née le 10 mars 1831, point à la ligne.

 

En fait Soult réagit rapidement dans l’autre sens on ce rend compte qu’il est devenu une de ces girouette politique car il déclare « l’ efficacité de la Légion, lui importe peu : et que comme la Légion étrangère à été formée dans le seul but d’ouvrir un débouché et de donner une destination aux étrangers qui affluaient en France et qui pouvaient y être un sujet de perturbation, il y à pas lieu d’accueillir votre proposition » écrit il le 14 février 1*31 au sujet de ce « H » et d’octroyer un numéro de régiment de Ligne. Soult continue dans ces termes « Le gouvernement ne cherche point à faire des recrues pour cette Légion ; ce corps est tout simplement un asile pour le malheur » faut oser le dire non ! en fait le « Hoenlohe » paye les pots cassés par les Suisses.

 

A vrais dire aussi le précédent du service étranger en France rendait banale, voir surannée, la création d’un régiment étranger surtoutt à une époque ou l’état prônait pour une armée à régiments réguliers nationaux. La Légion n’est autre donc qu’une fille illégitime de la France, mais surtout de cette révolution de juillet 1830, bien que reconnue ce trouve plus que génante et dont le petit droit est de mourir sans le respect, la reconnaissance de son pays adoptif ou pourtant cette Légion va défendre malgré tout les vastes colonies d’un pays ingrat envers elle. Le nom de Légion ira même jusqu'à évoquer une unité inhabituel, une réputation non acquise de déloyauté, a telle point qu’une antithèse du citoyen et du compatriote va ce créer pour longtemps.

 

Durant les premières décennies d’existence la Légion à très peut d’amis ; quelques groupements ou personnalités vont bien oser en parler par exemple des penseurs sociaux qui défendent déjà les sans abris avec très peut de succès d’ailleurs, alors imaginés les peut d’intérêts qu’on lui porte. L’état français ira même dans son indulgence traité la Légion de « décharge public » pour les indésirables, un havre pour les sans ressources, ce qui de plus est renforcé par un isolement renforcés par un isolement géographique, à la différence de l’état le peuple ignore ce qui ce passe dans ses empires coloniaux. Le haut commandement n’a que mépris pour des gens pareils, très, très peut d’officiers supérieures vont la comprendre cette Légion contrairement aux autres ils vont lui faire confiance. Ce dépotoir d’asociaux destines à justes à être sacrifiés, voir plus fort à être gaspillée, ont en veut nulles par et l’on trouve même exagérée de l’entretenir, ces fonds seraient plus utiles à l’armée national, cet antis Légion durera sous l’empire aussi, n’accusons pas seulement les ministres et officiers supérieures de la monarchie. Longtemps ont n’as cru et moi de même que la création de la Légion fut simple, crée d’un coup de plume, c’est hélas faux, sait plus complexes comme vous pouvez le constatez, les archives souvent ignorée car beaucoup ce voyaient en fautes de leurs critiques acerbes d’ignorants patentés, personnes n’osaient en parler, le peut de livres écrits étaient ignorés voir invendables, il fallut attendre l’après grande guerre et le 1er défilé sur les champs Elysés de 1920 pour voir et encore le hasard du passage du 2er Régiment Etranger pour voir qui étaient ces fameux étrangers. Pourtant la France à trouvée en cette solution vis à vis de ses étrangers une solution qui lui sera profitable et dont plus tard elle sera fier à en frissez l’orgueil d’avoir la plus belle armée au monde. Pour l’heure en 1831, le commandant de la 5 e division militaire rend compte dans un rapport du 5 mars que « le nombre de déserteurs des autres armées arrivent en nombres à Strasbourg est en forte augmentation. Rapidement le camp d’accueil de Langre est saturé tout les arrivants sont de plus démunis de tout. Obligé devant ces fait le gouvernement ouvre à Bar le duc un deuxième camps il ce situe à deux cent kilomètres à l’est de Paris, le préfet de l’endroit émet des protestations, en vain. D’autres dépôt suivent Auxerre pour les italiens, dans le sud ouest Agen pour les espagnols.

 

Tout semble s’organisé à merveille, ces recrutements non sollicités donne de fructueux dividende : en juillet une garnison de 1164 « Légionnaires » est installée à Bar-le-Duc. Comme toutes nouvelles unités le rassemblement sa roule mais en faire des soldats sait une autre paire de manche, ils faut des cadres, et cela manquent. Les cadres va être un des autres problèmes, comme va le signaler son tout premier Colonel le baron Christophe Antoine jacques Stoffel un suisse d’origine. Un revenons à cette après juillet 181. Les officiers français sont peut enclins à commander des réfugiés, les reconnus meilleures encore moins, les officiers français nommés dans l’état major de la Légion considèrent cela comme un affront, et les postes de commandements comme une punition encore plus encore quand soit par inadvertances ou à dessein leurs noms sont enlevés des listes d’anciennetés. Ce grief va perdurer les premières années de la Légion, les remarques du général inspecteur au 6e bataillon de Bône en Algérie en 1833, « Aujourd’hui les officiers étant envoyés par punition à la Légion étrangère, ils servent avec dégoût, sont humiliés de s’y retrouver et cherchent tous les

 

moyens possibles de rentrer en France. Plusieurs ont des antécédents fâcheux et ceux des officiers qui se respectent sont blessés d’avoir de pareils camarades » aimés nôtre Légion non ?

 

En réalités ses premiers officiers de Légion est un curieux mélange de demi-soldes, voir d’étrangers et de personnages fades, à la seul ambition de faire jouer des pistons pour trouver une meilleures affectation, en attendant à priori, ils se sentent obliger d’être la, dans cette attende parfois trop longue à leur goût. Le baron Stoffel s’en pleins amèrement « parmi les vingt-six officiers qui sont ici, il y en à que huit qui connaissent assez bien leur métier. Les autres sont retirés du service depuis longtemps, venant d’autres nations ou de l’arme de la cavalerie, il serait très urgent qu’il nous fût envoyé de bon officiers sortant de la ligne qui parlent Allemand » déjà un autre problème arrivent, le parler ! Un sous lieutenant ayant pour nom, Mathieu Galloni d’Istra va recevoir d’un général en inspection le titre peu enviable du « plus mauvais officier de l’armé » Stoffel va encore plus loin en déclarant « que son officier en chef de son administration « semble avoir le talent de tout désorganiser ». Suites à toutes ces remarques le gouvernement commence à chercher des officiers étrangers qui seraient de trouver emplois dans cette Légion qui n’arrive pas à trouver le pas. Ils y à cette époque beaucoup d’espagnols, six vont accepter, les autres disent préférés se battrent pour la liberté de leur pays. Enfin de compte il est quand même trouver 107 officiers, Allemands, Polonais et Suisses, qui servirons à la Légion étrangère avant 1836. Le calvaire de la Légion continue, en effet avec des cadres aussi diversifiés, et les périodes troubles qui règne des conflits sont inévitables. Pourtant ces hommes qui vont marqué cette jeunes Légion vont pourvoir à un départ original à cette Légion qui ne rencontre que problèmes. Le plus comique de tout est que le premier à critiqué le baron Stoffel est aussi une causse des problèmes. En août 1836, le général inspecteur de la région laisse entendre diplomatiquement dans son rapport que le baron suisse n’est pas forcément l’officier adéquat pour un telle commandement « Ce colonel m’a paru un homme intègre, loyal, doué de trop de bonté, ayant du zèle de l’activité et pouvant bien faire, rapport du 22 août, mais poursuit il, il lui manque l’habitude militaire, surtout celle du service, n’ayant jamais servi que comme officier d’état-major, ne connaissant point les règlements ni les ordonnances. Mais je le répète, c’est un homme estimable, qui travaille et s’occupe beaucoup, et qui bientôt deviendra capable : plus connu déjà on l’aime on l’estime, et on lui rend justice »Il est donc reconnu que ce brave baron n’est pas seul causse des problèmes. Deux de ses chefs de bataillon à grande ambition virent très mal la prise de commandement de la Légion ; vexés les deux commandants, Claver Gaubert et Salomon de Mussis, le général inspecteur remarqua ce fait d’animosité envers le colonel et en fit mention dans son rapport. Les deux commandants clamait l’incompétence, inapte et indigne de porter l’uniforme, à tue tête à qui voulaient l’entendre, ces critiques furent profitables indirectement car le colonel ce corrigea et s’améliora ce qui fût profitable plus tard. De toute façon la troupe ne comprenait rien mais par contre il avaient foi en ce qu’il voyaient surtout en l’astuce qu’avait trouvé le colonel pour faire taire les indélicatesses de ces détracteurs et les emmenés à appeler à la franchise devant lui, cet astuce fonctionna et fit même sourire les Légionnaire, mais fâcha l’inspecteur qui lui ordonna de renvoyer immédiatement cette femme, ce qui fût fait, mais marqua pour l’avenir le respect envers ce colonel, il avait oser prendre une femme habillé en homme pour les inspections des bataillons, fautes qu’il avoua de lui même à l’inspecteur.

 

Comme chacun sait la colonne vert vertébral de toutes les armées sont les sous officiers, et cela la Légion manque cruellement. Le gouvernement à bien recruté dans les sous officiers retraités, bien peut ont acceptez et ceux qui l’ont fait sait pour arrondire les fins de moi, déjà bien maigre. Résultat il ce rebat sur les étudiants allemand réfugiés qui sont bilingues, mais sans aucunes expériences militaires, sait vous dire que la saga Légion continue, mais à l’actif de ces problèmes le laxisme du gouvernement y est pour quelques chose. En engageant des étudiants une classe social différente apparaît avec les anciens déjà engagés en attentent toujours d’affectations dans les dépôts d’engagements les mêmes dilemmes de classe différentes. Ces derniers les étudiants bien sur avaient déjà manifestés des tendances égalitaires, pour ne pas dire prolétariennes, une tendance qui allaient donner le ton dans les casernes. Le commandant Clavet Gaubert écrit le 11 juillet 1831 « toujours cette année maudite » qui déclare par lettre au ministre de la guerre, que ces étudiants « montrèrent des prétentions exagérées, mais il devint impossible à les accoutumer à vivre en commun avec des déserteurs et dont la pluparts étaient enclins au vol et à la débauche » l’idée de Clavet Gaubert n’est pas mauvaise beaucoup plus tard elle sera reprise, comme vous le constatez cela tâtonnes mais s’imprègnes d’idées. Gauthiers crée deux compagnies séparées « ce que l’ont appels maintenant les pelotons cadres » avec les étudiants. « lorsque reprend Gaubert, plus tard on à procédé à l’élection des sous officiers, plusieurs refusent l’avancement mérité pour ne pas quitter leurs camarades » Leur véritables motivations deviennent très vite : ils espèrent êtres désignés pour les deux compagnies d’élite de grenadiers et de voltigeurs prévues dans chaque bataillons de ligne, car non autorisé pour la Légion mais qui finira par l’ être en avril 1832. « Une fois même toujours Gaubert qui parle, nous avons sur les bonnets de police de quelques-uns des grenades et des cors de chasse, que nous les avons fait disparaître sur le champ. » Si les étudiants essayent de créer un esprit de corps, « vous voyez une nouveauté, clin d’œil à la grenade aussi ! » un grand nombre des dernières recrues laissent à désirés, à telle point que leurs médiocrités causses des difficultés à créer un régiment. D’après Gaubert en mai, les problèmes sont évidents pour les douze officiers et petite poignée de sous officiers de commander neuf cent hommes, ce qui étaient de plus aggravé par le choix de Bar-le-Duc, comme dépôt régimentaire. Si Bar-le-Duc peut se vanter d’être la ville de naissance du maréchal Goudinot, Bar-le-Duc en 1931 est une petite ville modeste, ville de l’Est vivant de son textile, mais malheureusement souffre de la récession. Les paysans qui fuient la pauvreté ce réfugient dans cette ville, ce qui n’arrange rien et augmente l’élévation des pourcentages de chômage des groupes ce forment le mécontentement règne, le préfet de la Marne crie au secoure, c’est un des dilemmes que nous avons vu dans les premières parties. Comme je le dit la création de la Légion n’est pas finie, longue sont déboires jusqu'à sa stabilisation définitive.

 

Bar-le-Duc à été préférée à de grande ville de garnison parce que ville retirée, apparemment tranquille, Metz, Strasbourg aurait put être choisie, non. L’arrière pensée est aussi d’écarté des émeutes ces étrangers qui pourraient alimenter les troubles dans le pays. Un défaut à cette ville, qui pourrait apparaître anodins la ville est trop petite pour être de garnison, donc ou loger tout ces hommes ? Chez l’habitant à qui des bons de payements sont donner, mais dans ce cas la surveillance devient impossible, « pas d’enceintes , aucuns moyens d’établir des patrouilles, de service policier, ce plaint Gaubert. Stoffel de rajouter « le gouverneur, n’a pas fait distribuer, ni armement, ni équipement, ni habillement à entretenir, d’ou résulte l’ oisiveté qui favorise le penchant naturel des Allemands, pour la boisson. » L’armée n’a pas crée un régiment mais un enclos pour regrouper les indésirables. Donnez-leur un drapeau, une musique, formez des compagnies d’élite de grenadiers et de voltigeurs, rendez-les fiers de portez l’uniforme, insiste Stoffel, la Légion deviendra le « plus beau corps de France » Stottel insistes, et obtiens enfin satisfaction en 1832, toutes ces demandes sont acceptées ; Ce que Stoffel à prédit va ce réaliser. La Légion doit beaucoup à ce Suisse têtu, mais la galère n’est pas finie. Un problème suit l’autre, collant implacablement à cette Légion ; au tour de la mauvaise organisation cet un obstacle important au quel il faut tenir compte pour créer un régiment. La comptabilité inexistante car mal entretenue, on parle aussi de détournement de fond. Saviez vous par exemple que par rapport à nos unités moderne, que celles du XIXe siècle, avaient plus de contrôle sur leur finances, le système de la caisse des régiments datait d’avant 1789, ou celle si devait satisfaire tous les besoins des hommes, était encore en vigueur à cette époque des années 1832 etc.. La comptabilité est le travaille des sergent-major, tous doit être tenus à jour, cet à dire, équipement, nourriture, allocation de base donnée à chaque soldat.

 

Quand je vous dit que la création de notre Légion n’a pas été aussi simple qu’on la tous crûs ! La comptabilité laisse à désiré, le Sergent major est seul dans un petit enclos lui servant de bureau , essayant d’équilibré son budget, cessant les payements de ceux en prison, voir à l’hôpital, imputant les équipements, abîmés, disparus, la nourriture quotidienne, les réserves etc.. Quand il à terminer ses comptes alors commence la distributions de l’argent aux lieutenant et caporaux, responsables de l’achat de la nourriture pour leurs hommes, suit la répartition des sommes restantes. Sait qu’il faut penser que la tentation de détournement est présente et deviennes réels pour certains de ces gradés, mais il n’y à pas que les malhonnêtes, il y à aussi de l’incompétence dans les achats et distributions. En août Stoffel ce plaint d’avoir du être dans l’obligation de retirer toutes responsabilités à deux sous lieutenant qui c’était permis de dépensé la solde de leurs hommes, il continue contre les sergents majors et fourriers même sanction , ces dernier incompétents dans cette fonction ne comprennent et ne parle pas le français de ce fait une confusion règne continuellement dans les camps. Les équipements sont mal répartis quelles qu’ils soit les registres étant mal gérer. Les soldes crées un mauvais climat du fait non exactes voire inexistantes, pour obtenir une paye ces hommes vendent tous ce qu’ils peuvent, matériels, vêtements, chaussures n’ayant rien à faire de la journée l’oisiveté si mêlant ont les retrouves dans tous les débits de boisson de la ville. Devant ces faits le gouvernement réagit fermement il bloque toutes les soldes afin de ce remboursé de tout ses détournements ce qui ne va pas arranger le climat, cela ira jusqu'à la prison pour certains et cela pour un temps déterminé et sellons les bons vouloirs des autorités. Le préfet relève par cachot cinquante six Légionnaires et pour certains d’entre eux sont la depuis longtemps car purement et simplement oublier par le sergent major, qui de ce fait ne verse plus l’argent aux services chargés de les nourrir qui de plus n’en est pas militairement responsables puisque civils. Vers la mi-mai, l’insubordination et l’indiscipline ont atteint des proportions élevées et dangereuses, les rumeurs vont jusqu'à laisser penser à des émeutes . Les deux adjoints de Stoffel Mussis et Gaubert réunissent une centaine de gardes nationaux qui, à l’appel de la mi-journée surveilles tous mouvements des Légionnaires près à intervenir la police elle interpellent les meneurs pour en suite les jettent en prison. A cette même période un mouvement de désertion est appris, vingt Légionnaires sont interpellés, les lacunes sont aussi dans l’administration car ces « déserteurs » ne le sont pas ils ne passerons en cour martial ils n’avaient tout bonnement pas encore signer leur contrat ! Les craintes de Stoffel vont jusqu'à craindre que les compagnies ce disloquent si le haut commandement décide de les envoyer en Algérie, mais la les Stoffel ce trompe car très peut de Légionnaires déserterons, quelques un le ferons pendants la marche vers les cotes ou ils embarquerons. Le 23 novembre 1/31, à Bar-le-Duc et dans la province de la Meuse les autorités poussent un ouf de soulagement le dépôt est fermé la Légion par pour Toulon, ou on embarque progressivement la troupe pour l’Algérie, le bataillon du dépôt d’Agen des espagnols fermera lui dans le courant de 1832, par manque de recrues.

 

En 1832, sait la Création un an après la Légion, des Zouaves et des chasseurs d’Afrique bien que sait trois unités deviendrons des élites, le bordel partout dans leurs créations, les mêmes problèmes subsistes, organisations, manque de discipline. Cet en novembre 1831 que sont crées les chasseurs d’Afrique, en 1834 deux rebellions sont écrasées et des soldats fusillés, 6 officiers cassés en cour martial. Les Zouaves aurons aussi des déboires chaotiques mais tout rentrera dans l’ordre, les Zouaves servirons d’exemples aux américains pour crées des régiments de même type surtout dans les armées nordistes. La Légion quant à elle causse toujours soucis aux autorités. Janvier 1832 arrive un nouveau commandant en chef en Algérie et oui la Légion y est déjà, Savary duc de Ravigo est un ancien ministre de la police sous Napoléon, sa tactique afin d’éviter ivrogneries et rebellions disperse en petites unités dans la ville de Mustapha, la Légion. L’inspecteur général en 1834, déplore l’état lamentable de certains Légionnaires engager à la hâte des handicapés par des maires désireux de ce débarrassés au plus vite de toutes étrangers, ce sont des faits pareils qui engendres des malaises et des désordres pareils vu plus haut. L’engagement des ces étrangers dérangeant reste cependant reste l’argument vital pour ne pas voir disparaître cette Légion, et les idées vont bon train, naïve ou pas mais elle deviennent lentement des idées qui deviendrons importantes dans l’avenir, mais pour l’instant ! En 1836 par exemple le Colonel Bernelle qui est le 3e commandant que la Légion reçoit mais qui est considéré comme le premier car sait grâce à lui que toute la Légion va changer en tout point de vue. En 1836 le colonel Bernelle désire crée une cavalerie Légion, et l’écrit en ces termes à ses supérieures « en unissant sous une discipline stricte et pour le service actif, des hommes que la France paie déjà à ne rien faire » il pense aux polonais déjà réputés comme très réputés comme excellents cavaliers, et à réputation discipliné. Mais la question est ces hommes sont ils si mauvais qu’ont le prétend, le fond le laisse croire mais il y à aussi une forte volonté de la part du gouvernement de laisser pour compte ces ignobles individus, provoquant ainsi le cahot parmi la troupe. Voyons ce qui ce passe encore en 1831, car il faut sans cessent jouer au yoyo avec les années tellement sait complexes, plusieurs bataillons sont déjà existants ils regroupent par nationalité les Légionnaires, Suisses, Allemands, Italiens, Espagnols et Polonais, en 1833 viennent Belges et Hollandais ensembles dans le 6 e battaillon, les autres parfois selon le besoin d’effectif dans un bataillon un peu de mélange d’une autre nationalité ce faisait mais rarement.

 

Des allemands déserteurs qui transitaient par la Belgique était parfois pris pour des Belges, Hollandais voir Suisses et ce retrouvaient dans ces bataillons c’était encore confus à l’époque. Les Belges étaient en général jeunes et cherchaient l’aventure africaines. Un recensement et avis d’un inspecteur à Mustapha le 1er décembre 1832, signalent par écrits qu’a son avis que les « 87 Français se sont engagés pour avoir une promotion rapide, que les 94 Suisses ont pleins de zèles ( la plupart viennent des régiments Suisses des Bourbons ), tandis que les 571 Italiens sont paresseux et « jaloux ». Les 98 Belges et Hollandais, les 19 Danois et Suédois ont droit à des appréciations élogieuses, ainsi que les 85 Polonais notés comme « bons et braves soldats ». Les 10 Anglais sont « peu connus ». Cependant, les 2.198 Allemands « déjà nombreux ! » donnent matière à réflexion : « Beaucoup sont, des déserteurs ou des réfugiés politiques, des étudiants en médecine, des avocats ou des notaires à l’imagination inquiétante. Ils doivent être continuellement surveillés. » Les temps changent loin ces dix huit mois en arrière cette époque ou sait étudiants ce prétendaient de pouvoir envers et contre tout crées des compagnies d’élites !

 

Qu’est il arrivé ? Un grand rôle a du ce jouer pour en arriver la, la déception de la révolution de 1930 ou les « trois glorieuses r n’avaient pas donner les souhaits attendus, notamment la grande révolution européenne. Beaucoup c’ étaient engagés mus par une ferveur révolutionnaires ces derniers n’étant pas satisfait non plus de n’avoir pas libérer l’Europe, se voyaient mal de se retrouvés des exilés de chez eux ce retrouver à présent exilés de France en Afrique encore une fois considérés comme des indésirables, c’était certainement provocation de ces cahots ayant existés dans les premières années de l’existence de la Légion ! Mais l’avancement pénible qu’elle connaît lui sera bénéfique plus tard ! Un autre aspect de cette avancement est aussi la forte volonté de s’en sortir, les Polonais par exemple ont pour seul ennemis la sainte Russie qu’ils haieses, la plupart sont des anciens de la révolte de 1830 contre St Perersbourg, révolte militaire d’ailleurs ou ces Polonais devaient appartenir à une armée, cela ce voyant à leur manière d’être des soldats, ces derniers possédaient une excellente réputation auprès de la population d’Alger. Enfin une métamorphose commence !

 

La légion manifeste à l’époque une net désapprobation sévère pour les intellectuels, préférant des personnes moins doués pour la critique, ce qui pour elle amènes divers problèmes vu si haut notamment. Il n’est donc pas fautes de ses Légionnaires, mais bien des officiers quelques soit son grade que tout est bordel, sait la venue d’officiers plus motivés et ayant un esprit plus proche de la troupe que cela va changer, mais voyons les antécédents de ces années de gloire à venir !

 

Bien sur la troupe possède une centaines de mauvais soldats, Savary le signale dans ses rapports, écrivant de même qu’il fallait exercer une étroite surveillance voir à les verser dans la régulière afin de mieux les contrôlés, hors la Légion sert justement à cela, nous sommes en route vers la création des régiments disciplinaires. La Légion à reçu son premier drapeau, ordonné par le décret du 9 novembre 1831, mais ce fait non plus n’avait motivé ces hommes sans expériences et mal commandés, mais les faits positifs vont ce précises à petites allures, en effet la Légion est portée a sept bataillons et ce retrouvent dispersés dans des endroits parfois les plus malsains et oublier de dieu, la solidarité va naître, mais avant cela les missions inutiles voire futiles ne font pas le bon moral. Savary, revient encore une fois sur les officiers « un chef, qui sait comment manier ces hommes peut bientôt créer un esprit de corps » Tout comme ce brave Stoffel, Savary travaille à leurs façons dans le bon sens de par le fait de leurs critiques et observations, sait dernières sont souvent judicieuses et positives pour les Légionnaires, déclarant « que leurs bons vouloirs pourrait être motivés par un bon encadrements qui manques, avec des officiers compétents, et s’intéresses à eux un amour propre de ces hommes ferait effet positif , ces officiers, devraient leurs attentionné du temps, plus de justice, plus de discipline, s’identifiés à eux, de même pour les sous officiers. Savary relève aussi que nulles corps d’armée de l’armée régulière n’a besoin d’autant de discipline que justement cette Légion ! Un cadre de discipline façon Anglaise, Allemande, serait impératif et justiciables. Le recrutement reste pourtant encore difficile, la dissolution des des régiments de la garde royale en 1830, emmène une pénurie d’officiers en effet les troupes d’élites en avaient besoin en Algérie, mais le besoin de ces troupes dans les colonies vont devenir profitable à la Légion. Et voilà qu’arrivent un défenseur des troupes légères, prend le commandement de la Légion étrangère, il à pour nom et grade, Colonel Michel Combe, cet officier à contribué à la création des chasseurs à pieds. Il sait aussi que des officiers étrangers cherchent à s’engager, tout comme c’est 277 polonais de 1834 réfugiés à Londres. La Légion compte maintenant quelques officier compétents, mais d’inégales valeurs. Le général Voirol se plaignait en 1833 que des officiers Français dans la Légion employaient souvent des sarcasmes ou « des expressions dédaigneuses ou injurieuses » qui poussaient les Légionnaires à « la résistance et à l’insubordination ». Il est pénible que les étudiants allemands en étaient particulièrement offensés et qu’ils le montraient . L’attitude négative ce trop d’officiers était dévastatrice pour le moral. Le 1er janvier 1834, Voirol constate que nulle fierté n’existe au régiment, que l’alcoolisme y règne, de plus après les trois années de contrat personnes ne ce rengageaient ». Mais le mauvais moral ne sait pas étendu seulement à la Légion, sait tout le corps expéditionnaire que cela sait étendu, l’affaire du dey d’Alger qui souffle avec un chasse mouche le consul de France, provoque des troubles à Paris, la mauvaise volonté de certains, officiers désirant rentrer en Métropole, sont pas pour aidez la troupe, la situation en arrive à un manque de sécurité, aussi Savary fait construirent des Blockhaus sur les principaux axes d’approche d’Alger pour donner de l’air à la ville, ces mesures posaient aussi des problèmes aux petits postes le service y étaient pénibles, aux pire était fatal en tout genres. Dans ce capharnaüm il faut reconnaître le comportement honorable des Légionnaires, dans leurs premiers combats. Le premier combat à lieu le 7 avril 1832, ou deux compagnies. Le 23 mai de la même année, vingt sept Légionnaires et vingt cinq Chasseurs d’Afrique que commande le Commandant Salomon de Musis sont attaqués près de Maison-Carrée, qui protège à l’Est la ville d’Alger. Le commandant mais en marche forcé ses Légionnaires, lui et sa cavalerie part chercher des renforts, ce dernier à laisser le commandement au lieutenant Cham qui est d’origine Suisse. Les débuts ce présente mal peu habituer à la guerre en Afrique, tirent une première fois sur les Arabes, puis courres en complet désordre vers un petit bois ce trouvant la. Cette situation fatal ne peut plus leurs permettes de tirer en salves, ce qui était leurs seules chance de ce sauver, la situation empire car ils sont rapidement abattus ou capturés. Les prisonniers dont le lieutenant Cham, premier officier de la Légion à mourir au combat, sont massacrés les un après les autres car ils refusent de ce rendrent mais surtout le fait est qu’ils refusent de devenir musulman. Les premiers traîtres à la Légion est le Légionnaire Wagner un Saxon, qui accepte de servir ses nouveaux maîtres, il fut épargné, et servit avec cinq autres déserteurs Légionnaires comme esclaves, les cinq furent tués alors qu’ils fuyaient vers Alger un peu plus tard.

 

Wagner lui réussi plus tard à s’évader, erra une dizaine de jours seul dans le désert, pour enfin repris par la Légion à Maison-Carrée, ou il du servir d’exemple devant tout le bataillon réunis, ou il du s’expliquer de son acte et les effets d’êtres réduit en temps que prisonnier a la dure loi de l’esclavage, ce fait de désertion allais changer aussi la mentalité des Légionnaires, mieux vaut mourir dans l’honneur que bafoués. Le pauvre Salomon de Mussis subit les faits de cette désertion il fut sanctionné disciplinairement la sanction fut sa mutation dans l’infanterie légère d’Afrique ou il meurt dignement dans une embuscade en 1836, la Légion perdait son premier officier muté dans une autre unité, disons sont premier officier supérieure digne d’elle !

 

Le pire ennemi que la Légion eu à subir, ne fut pas l’indifférence, le mépris, mais un ennemi plus sournois encore le moustique femelle entraînant la malaria et la mort à la pelle, aussi d’autres maladies graves et incompétences médicales, pourtant c’est l’ennemi qui contribua le plus à montré la valeur de ce que beaucoup voulaient ignorés, la Légion allaient en sortir grandie de ses combats de cette guerre sans pitié cette guerre fut appeler celle des « fièvres » à l’époque la science n’avait aucuns remèdes et ne connaissait pas s mots « typhoïde » pneumonie et malaria, cette guerre fut la première grande épreuve avant de connaître l’ultime affront l’Espagne, mais quoi qu’il arriva la Légion marche définitivement vers l’avenir qu’on lui connaît actuellement des officiers vont sortir du lot et l’y aider sincèrement, ce sera le début de la complicité gradés, Légionnaires qui ne ce démentira plus jamais mais pour l’instant revenons à nos moustiques femelles « toujours une histoire piquante de femme à la Léfion, hi, hi » . Entre 1831/35 l’Algérie connu un véritable fléau de choléra, entre ces même années la Légion perdit le quart de ses effectifs soit 3.200 hommes, morts ou réformés ! Rien qu’en 1833, les pertes s’évaluent a 1.600 sur 2.600 uniquement pour la garnison d’Alger, il faut tenir compte que ce que l’on appelait « hôpitaux » n’étaient que de vieux abris ou l’on entassaient plus que l’on savaient soignés, véritable anti-chambre de la mort, personnes n’en sortaient vivants. Les malades dormaient dans des hamacs ou sur des litières de paille. Pire encore pas d’hygiènes, la négligence y est total voir criminelle. L’origine du dicton « qu’un Légionnaire ne rentre à l’hôpital, que pour y mourir » date de cette époque et en marque une triste réalité, abris ouvert de tout cotés, maisons que l’on avait réquisitionner ou encore de simple tentes étaient leur dortoir de la mort, il n’y a pas d’eau, les plus valide doivent demander la permission d’aller en ville pour allez en chercher ou pour essayez d’aller ce laver, cette période criminelle va jusqu'à la folie que les Légionnaire doivent ce mourir avec leur propre paye, et ils ne sont pas considérés en service quand ils sont à l’hôpital, ceux qui n’en on pas et ils sont nombreux doivent ce débrouillés à en trouver, ils font des petits travaux à gauche à droite même pour les soit disant hôpitaux ils en effectuent, c’est le début de tout ce que le Légionnaire apprendra durant toute sa vie durant le fameux « système D= débrouille » ils en arrivent parfois à devoir vendre des pièces d’uniforme pour pouvoir manger connaissant les sanctions sévères qui les attendaient, la plupart ne croyaient pas à la guérison alors disons le cyniquement puisque la période vécue par eux est ainsi « alors pourquoi pas adoucir la mort ! » Le cas du Légionnaire Pagno qui survécu miraculeusement de la dysenterie est un cas parmi temps d’autres, il vendit pratiquement tout son uniforme pour acheter de la nourriture un comble prescrite par le médecin. La cour martial fut magnanime reconnaissant que les faits étaient fondés le condamna à une peine légère si on peu dire, verdict deux mois de prison. Les peines étais moins lourde pour ivrognerie que de vendre un bouton d’uniforme. Dans sa logique implacable Charles Dickens disait « que les raisons de famine était une raison suffisante pour vendre son uniforme » .

 

Savary, n’a rien pour sa défense à ce sujet, les officiers supérieures étais comme lui, ce qui déteignait sur les officiers subalternes de l’époque des premières années de l’occupation de l’Algérie. Tr ès peu d’officiers ne semblait vouloir s’occuper allant même à ignorés la vie déplorable dans les quelles vivait les Légionnaires, alors ignorés de dieu et de ses sbires sur terre le Légionnaire boit, et gardera longtemps la réputation « de boire plus que de ce battre » mais disons le aussi la vie n’est pas tellement meilleurs pour les troupes du corps expéditionnaire, mais la Légion est au dessus du panier de crabes quand il s’agit d’oublier quelque chose ! Eb 1840, un officier miracle arrivent il bouscule tout, nettoie l’administration de sa malhonnêteté, il va secouer les militaires de leur indolence, virer les gradés fainéants, il va surtout donner un humanisme à cette armée d’Afrique, cet officier énergique à pour nom « Bugeaud » il est le contraire de l’incompétent Savary, qui rendait ses soldats responsable du taux élevé de la mortalité dans la Légion, ce qui en réalité est vrais, Savary rejette sa faute sur les autres comme ses prédécesseurs alors comment ne pas comprendre un certain je m’en foutument des Légionnaires, Savary va même si l’on pourrait le dire à laver sa conscience à faire la guerre à tout ce qui concerne l’alcool, comme si cela était la première plaie, l’alcool serait aussi un chancre économique en Algérie pour Savary ! La réalité est toute autre on parle toujours des camps d’exterminations nazi « je suis contre bien entendu mais c’est juste une explication sans différence de faux jetons qui préfères ignorés leur réalités », mais avant cela l’Angleterre les avaient inventés pour les esclaves travaillant dans les mines de diamants de sa très gracieuse majesté la Reine Victoria. Et bien la France de l’époque sournoisement et dans l’indifférence la plus absolue laissait mourir à petit feu c’est étrangers indésirables en France. Ils étaient envoyés systématiquement aux endroits les plus exposés aux maladies, ce que l’on appelerait acctuelement camps d’extermination l’était pour la Légion à l’époque tout simplement et la France la longtemps caché et c’est douleurs injustes du passés la Légion ne la jamais oublier en son sein, mais la depuis longtemps pardonné, mais c’est soufrances l’on marquée à telle point que l’Algérie est devenue sa seconde patrie ils le montrerons une dernière fois en 1962 ! En 1832 130 ans plus tôt ils pourrissaient dans les marais de la mitidja, dans les tours de gardes interminables de la Maison Carré, pas un endroits insalubres ne leur était épargnés, en trois jours maximum la maliria les avaient atteints ils tombaient en suite comme des mouches, en1834 par exemple à Maison carré pas moins de quarante Légionnaires sont envoyés à « l’hôpital. Personnes ne contestes que c’est missions d’assainissements des marais et des constructions des routes doivent ce faire, mais la question est et reste pourquoi si souvent la Légion ? Savary encore une fois pour ce justifié déclarent « que la Légion et ses deux commandants de bataillons ce sont portés volontaires, c’est derniers étaient passionnés par les iniatives spontanées de la manière d’utilisés les Légionnaires qui s’y accommodaient très bien pour le bien du service et bien entendu comme colons. Bugeaud à la différence de son prédécesseur Berthezène est un officier dont les convictions sont inébranlables d’une colonisation militaire de l’algérie. Sa raison est de est aussi un moyen de liquider les partisans qui veulent déjà la fin de l’empire français en Afrique du nord. Pour cela Bugeaud à besoin d’une excellente armée, la Légion va enfin pouvoir existée a sa juste valeur. Avec l’arrivée de Bugeaud c’est toutes d’Algérie qui doit, ce dernier trouvant les officiers de Légion trop enclin à ce servir de la Légion à titre de bien ce faire voir, ordonne qu’elle ne sera plus seul à subir les taches les plus dur, les taches publics pour tous déclare t’il ! Une situation nouvelle ce dessine. En 1835 un bataillon de la Légion ce retrouve dispensé de travaux car trop de malades, ce qui ne plut pas aux Légionnaires qui prennent cette ordre pour une insulte à leurs capacités de travaille. Il faut aussi laisser à charge que certains officiers de Légion ont essayer d’évitez les endroits pestilentiels du moins éviter les effets nuisibles considérables. Un exemple avec le 6e bataillon ( Belgo-Hollandais mais considérés Allemands ) qui ce trouvait à Bône en stationnement perdait trop d’effectifs, il fut proposer de le remplacer par les Espagnols qui semblaient être plus résistants au climat. Le commandement refuse rétorquant que si la poignée de moribonde de Légionnaires quittait la ville achèverait de tuer les malades, ce qui en soit est logique ce qui ôta l’idée de relève. Par la suite ce furent des unités autochtones qui prirent la relève. Bien que des améliorations s’effectues, la Légion est toujours considérée comme consommable, et les garnisons sans risques sont en priorités données aux troupes françaises proprement dites. L’ennui des travaux publics est aussi une des raisons que les officiers de Légion provoque leur déclin envers les Légionnaires, pour eux la moral est qu’ils avaient plus de chance comme leurs étrangers de mourir de maladies qu’aux combats, il n’y avait aucuns romantisme dans cette aventure Algérienne avec la Légion confiné aux taches ingrates, ce qui faisait baisser leur moral, beaucoup de Légionnaires ce disaient déjà ne pas renouveler leur contrat et cela avant la fin de celui si, certains désertaient, en Afrique cette les désertions était affaire hautement risquée car la situation était continuellement en état de guerre, au contraire de la Métropole. Le problème de désertion était plus fréquent dans la région de Maison-Carrée, car les tribus des El Ouffa protégeait ces déserteurs si toute fois ils arrivaient à les rejoindrent. Le sergent Muller en 1832, serait un déserteur volontaire. Ce dernier est un de ses camarade tous deux du 3 e bataillon ce sont vu proposer de déserter par deux bédouins, ils déserte non sans avoir prévenu le commandant Salomon de Mussis, ce dernier les fait suivrent discrètement par un détachement. Une fois arriver dans le camp les faux déserteurs sont déshabiller par les femmes et rhabiller à la mode arabe, et réduit à l’esclavage, quatre autres vrais déserteurs eux sont avec eux. Après un certains temps Muller commence à avoir peur, du moins c’est ce qu’il racontera plus tard était une manière de dissuader les désertions, en tout cas profitant d’un moment de relâchement des femmes et habiller de burnous, les deux Légionnaires volent deux montures et

 

s’enfuies à la rencontres du détachement ; ils savent très bien ce qui les attendent s’ils sont repris

 

De plus Muller à de quoi avoir peur il à jeter un arabe à terre et c’est à lui la mule sur le quelle il est dessus, vol et coups c’est la torture et la mort assurée. Leur chance raconte t’il c’est qu’ils arrivent à rejoindre la colonne avant les arabes lancer à leur poursuite. L’affrontement laisse une soixantaine de morts chez l’ennemi et deux vrais déserteurs. La colonne rentra avec une prise inattendue en effet la bagarre avait eue lieux aussi près du camp ou il s’emparent de 10.000 franc, rentrez au campement l’argent est distribuer selon les grades. Concernant les désertions les chiffres n’existes pas, mais en 1832 Savary écrit que ceux qui désertent incites leurs camarades à les rejoindre, une des ruses est qu’ils reçoivent des écrits ou il est inscrit « que comme eux, ils recevrons chevaux et femmes ».

 

Comme on la déjà vu et revus les premières années de la Légion en métropole furent scabreuses et en Algérie quand cela ne ce passait pas à l’hôpital on la retrouvait dans la construction des routes ou des bâtiments, les combats on peu les compter sur les doigts de la main. Jusqu’en 1840 l’armée française utilise contre les arabes des colonnes puissantes mais lente, l’arabe lui est très mobile, une cavalerie frappant et disparaissant aussi tôt, il est à savoir que la tactique des colonnes lourdes n’était efficace que si l’ennemi acceptait une bataille rangée, mais cela ce faisait de moins en moins, entraînant plus tôt les français à traîner sur des kilomètres leur artillerie et charrois dans des bleds arides sans routes et puits le moral de la troupe en prenait aussi un coup ; les colonnes devenait revenir sans avoir atteint d’objectifs et sur le chemin de retour ce faisait harceler, cette guérillas portait généralement ces fruits, les français de plus ne savait pas employer sa puissance de feu, leur supériorité ce retournait contre eux, les arabes touchaient aussi au moral car jamais les français ne savait quand une attaque arriverait, de plus l’effet de surprise limitait les pertes chez les indigènes. Une chose est certaine l’armée française et Légion comprise n’était préparée à la guerre contre les arabes, on en était encore à ce battre en rangs serrés. L’armement n’était pas mieux lotis les fusils étaient de courte portées et obligeait des tirs de salves serrées pour être efficaces mais certainement pas en territoire d’africain. En 1831 Berhezène parle de la médiocrité de l’entraînement de la Légion, en 1833 malgré le peu de combat le général Voirol dit elle « qu’elle ce porte mieux aux combats, qu’a l’instruction ». Ce sont c’est petites phrases écrites et petites choses anodines qui nous échappent si nous le lisons ou ,e l’écrivons pas qui vont créer la Légion, car elles n’échapperons pas à certains officiers de grande valeur lentement les choses ont pris leurs temps mais sûrement, avant 1840 il y aurras l’humiliation de l’Espagne, des cocardes et de partir sans drapeaux.

 

La mission primordial d’une armée est de combattre ou du moins à être prête à le faire, la Légion apprendra dans la dignité en Espagne ou après la guerre civil la reine d’Espagne s’en débarrassera très vite comme une bande d’indésirables gênant, la paix revenue. Elle retrouvera l’Algérie qui deviendra son deuxième pays d’adoption repartie à faire ce sont elle est semble destinée à faire des routes En juin 1835 trois compagnies du 4e Bataillon, composé de Polonais et du 5e Bataillon composé d’Italiens ce trouvant sous le commandement du lieutenant colonel Conrad sont intégré dans la colonne du général Trézel parue à la poursuite du fameux Abd-el-Kader qui pousse à la révolte les tribus a l’ est d’Oran. Le matin du 26 juin, Trézel parde très bonne heure avec trois bataillons et demis d’infanterie, quatre escadrons de chasseurs d’Afrique, quelques pièces d’artillerie et un long convoi. Trézel à organisé sa colonne en formation de carré, les Italiens de la Légion, et deux escadrons de cavalerie sur son flanc gauche, en tête les Polonais de la Légion, c’est dans cette formation qu’ils pénètres dans un vaste maquiis de jujubiers de lenstiques et de tamariniers qui recouvrait les hauteurs de l’Oued Sig, et Oued Treblat le tout s’appelait forêt de Mouley-Ismael. La colonne s’engage dans l’étroit défilé en tête la Légion, les Arabes commence à harceler l’avant garde et les ailes, ils sont dissimuler dans les collines boisées d’ou ils tirent à coups de fusil. Le 4 e bataillon Légion ce porte en avant afin de déloger les tireurs qui ce trouves de front pour ce faire ils ont former la ligne, ils doivent reculer car les arabes attaques en trop grand nombres. Le convoi en arrière est menacé, les chasseurs d’Afrique chargent pour le protége leur colonel est tué des les premiers instant de la charge, la confusion est t’elle qu’un clairon sonne la retraite ce qui va provoquer un demi tour complet au convoi. Le 5 e bataillon Légion contre attaque avec un bataillon du 66e d’infanterie qui comme lui ce trouve sur l’aile gauche, ils arrivent à rejeter les Arabes qui commence à atteindre les chariots. Aux environs de midi, le général Trèzel à réussi à sortir tout le convoi de cette forêt qui est maintenant dans la plaine, seul la perte de deux chariots est a déploré trop endommagés ils sont brûler. Les chariots portant les tentes sont vidés et les blésés prennent leur place, les pertes sont élevés, cinquante deux morts on du être abandonnés sur le terrain à l’ennemi, cent quatre vingt blessés. Le 27 juin Trézel à décider de camper sur les bords du Sig, la négociation avec Abd-el-Kader à échoué. Le 28 il ce remet en route vers Arzew à travers une immense plaine cette fois il organise trois colonnes, les trois compagnies du 4 e bataillon Légion ce trouve dans celle de droite et le 5e lui ce trouve à gauche. La colonne lourdement chargées est suivie à bonne distance par un nombre important de cavaliers ennemis. A quatorze heure la colonne atteint une piste qui s’engage à travers les marais ce sont ceux de la Macta à droite et les collines de la forêt de Moulay-Ismael à gauche. Abd el Kader choisi cet étroit sentier pour déclencher une attaque, il envois ses cavaliers et fantassins qui ce jettent sur la tête de la colonne alors que d’autres sortent de partout sur la gauche. Le 5 e bataillon Légion reçoit l’ordre de tenir les Arabes à distance mais doit protéger le convois en restant à ces coter. Le fait d’être à découvert va occasionné de lourde pertes dans ses rangs mais il réussissent leur mission malgré tout. Conrad doit ce sortir de cette situation il charge les Arabes qu’il repousse dans la forêt ou un mur de feu les arrêtes et les obliges à reculer Trézel dira de Conrad qu’il possède « une grande énergie et un grand courage, mais peu de réflexion » la forêt brûle et provoque confusion et panique dans certains éléments du 66 e d’infanterie, ce qui occasionne le flanc gauche du convoi soit complètement à découvert, le feu allumé par les arabes joue bien sont rôle sa fumée inonde le champ de bataille, les compagnies sont paniquées, dispersées même pour certaines isolées. Les trois compagnies du 4 e bataillon Légion laissées à la protection des blessés reçoit l’ordre de Conrad de le rejoindre ce dernier replie les survivants derrière une petite colline. Trèzel ce fera un plaisir de charger au maximum les responsabilités de la défaite de la Macta sur le dos de Conrad. Trézel en rejoignant l’arrière garde découvre que « Conrad et un grand nombre de ses officiers voulaient traverser la Macta à gué et gagner Mostagamen. C’était une manœuvre folle, déjà entamée que j’arrêtai avec beaucoup de difficultés. » De plus la manoeuvre de Conrad à découvert la colonne qui ce retrouve sans protection ou la panique règne, les cochers détèlent les mules et s’enfuies dessus, suivant certainement l’exemple des cavaliers dont Trézel dira aussi, qu’il ne les revit seulement quand il rejoignis seulement une fois arrivé à la côte, des soldats pousses même des chariots dans les marais ou ils irons s’embourbés jusqu’aux essieux. Les Arabes ont la partie belle ils abattent les conducteurs en fuites, achèvent les blessés et volent tout ce qu’ils veulent. Dans l’arrière garde les hommes du 66 e non plus de commandant il à été tué aussi rejoignent les autres soldats dans les marais ou ils s’y enfoncent. Trézel qui à réuni deux escadrons qui eux n’avaient pas fui, mène une charge pour rejoindre ce qu’il reste du convoi protégé par quelques unités solides t’elle que les Légionnaires et Chasseurs d’Afrique disciplinaires, ainsi que son artillerie qui elle aussi est restée soudée en protégeant leurs canons de la Trézel peu avec ce qui reste de ses troupes les ramenés à Arzew, sur la côte constamment suivit par la cavalerie Arabes qui n’osent plus attaquer. Arrivée a Arzew la colonne compte trois cent blessés, dont celui qui plus tard deviendra le général en chef en 1870, le sous-lieutenant Bazaine. Soixante deux tués dont deux officiers de Légion abandonnés sur le champ de bataille, il y a aussi deux cent quatre vingt disparus. L’infanterie rentre à Oran par mer, la cavalerie par voie de terre elle est renforcée par des régiments d’indigènes fidèles à la France. Le pire est la il n’y à plus le moral chez les français suite à la défaite de la Macta. Le gouvernement français à donner l’ordre à la garnison d’ Oran de rester sur c’est gardes.

 

Suite à cette défaite les accusations mutuel vont bon train, même les deux officiers des deux bataillons Légion ce rejette la faute l’un sur l’autre. Et voici ce qui va littéralement les choses pour la Légion. A cette époque c’est le colonel Bernelle qui commande tous les bataillons Légion, il décide de mélangé les nationalités transformant les bataillons. La décision de Bernelle est peut être du au fait de la difficulté de maintenir des bataillons nationaux avec l’incertitude de la nature des engagements. La Légion prend son image définitive aussi par l’obligation de devoir parler obligatoirement le français. La voilà partie vers un destin qui deviendra légendaire

 

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